Edwards & Praly recrute pour son premier anniversaire
Edwards & Praly, petite structure agile, s'est lancée il y a un an au service des jeunes pousses innovantes. Le cabinet réunit un duo alliant expérience et jeunesse puisqu'il se compose d'Olivier Edwards, fin connaisseur du monde des start-up depuis trente ans successivement chez Jones Day, Morgan Lewis, Gide et Orrick, et de Lucie Praly, passée par Orrick puis Freshfields. Une première recrue les rejoint en la personne de Jeanne Plé, dont c'est la seconde expérience après deux ans chez Jones Day.
La collaboratrice diplômée en droit des affaires de l'Université catholique de Lille et de l'Edhec a accepté le modèle de rémunération d'Edwards & Praly alliant part fixe et intéressement aux bénéfices, plus proche des start-up que des cabinets américains. Afin de tourner la page de la facturation à l'heure, un système dans lequel les taux horaires demandés reflètent moins, selon Olivier Edwards, la compétence d'un collaborateur que sa rémunération dans un contexte de raréfaction des talents, le nouvel acteur a choisi de réduire drastiquement les frais de fonctionnement et d'associer les avocats aux résultats du cabinet.
Ciblant les entreprises développant des technologies de rupture, Edwards & Praly met en place un réseau de cabinets de niche afin d'assister ses clients : Constantin Pavleas en économie numérique, Hélène Daher en droit du travail ou encore Christian Nouel en droit fiscal. En un an, il a travaillé notamment sur les levées de fonds de Ramify, Kure Bazaar et Faradae, toujours côté société, et sur la cession de Genymobile à Shadow.
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Par B.R.
Publié le 6 juin 2023 à 7:58, mis à jour le 6 juin 2023 à 8:58