Bien qu’il ne fût pas un spécialiste de la réglementation boursière, mais qui l’était à cette époque, Olivier Edwards vécut ses premières expériences dans ce secteur au milieu des années 80 en conseillant Rémy Cointreau dans son OPA contre Grand Marnier puis la boutique de Georges Pébereau, Marceau Investissements, dans le cadre de son OPA hostile contre Société Générale.
Important également fût le rôle qu'il joua au sein de son cabinet, Giroux Buhagiar & Associés, avec ses associés
Philippe Giroux et Patrick Bonvarlet, dans la constitution puis la transformation d'Euro Disney en société en commandite par actions en février 1989 et enfin, dans sa cotation sur les marchés de Londres, Paris et Bruxelles la même année.
Cependant, ce qui a vraiment lancé le succès d'Olivier dans le monde de la technologie, c'est l'introduction en bourse de Business Objects au NASDAQ à l'automne 1994 avec Sullivan & Cromwell du côté américain. Business Objects a été le premier logiciel européen à entrer en bourse sur le NASDAQ et a connu un énorme succès, encore évoqué aujourd'hui.
Il a également été conseil pour la double cotation de Business Objects sur le Premier Marché français (1998).
A suivi l'introduction en bourse d'ILOG sur le NASDAQ (1996) avec Frank Currie, associé de Wilson Sonsini (qui deviendra le partenaire de Davis Polk dans la Silicon Valley), Wavecom SA, société française de télécommunications, au cours de sa double cotation au NASDAQ et à la bourse française Nouveau Marché (1999) et un certain nombre d'entreprises françaises sur le Nouveau marché, le Second ou Premier Marché, jusqu'à ce que la bulle explose.
Une opération exotique à signaler : CERUS en 1996 dans le cadre de la double cotation de sa filiale COFINEC sur les marchés de Luxembourg et Budapest.
Plus tard vint Goldman Sachs lors de l'introduction en bourse de Free sur le Premier Marché français (2004).
Et puis récemment, Biom'Up et Balyo en 2017 lors de leur introduction en bourse sur EuroNext avec son associé Etienne Boursican.
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Although not a specialist of stock market regulations, Olivier Edwards first experiences in this sector strated in the mid-80s when he advised Rémy Cointreau in its takeover bid against Grand Marnier and Georges Pébereau's Marceau Investissement in the course of tis hostile takeover bid against Société Générale.
Further down the road, he advised CERUS within the course of the rather exotic dual listing on the Luxembourg and Budapest stock markets of its subsidiary COFINEC, in 1996.
Also important was the role he played within his firm, Giroux Buhagiar & Associés, with his partners Philippe Giroux and Patrick Bonvarlet, in the creation of Euro Disney SCA in February 1989 and then in its listing on the London, Paris and Brussels markets the same year.
But what really launched Olivier's success in the tech world was Business Objects' IPO on the NASDAQ at the fall of 1994 together with Sullivan & Cromwell on the US side. Business Objects was the first European software to go public on the NASDAQ and was a tremendous success, still mentioned today.
He further acted as counsel for Business Objects' dual listing on the French Premier Marché (1998).
Followed ILOG's IPO on the NASDAQ (1996) with Frank Currie, a partner at Wilson Sonsini (to become Silicon Valley's partner of Davis Polk), Wavecom SA, a French telecommunication company, during the course of its dual listing on the NASDAQ and the French Nouveau Marché (1999) and a number of French companies on the Nouveau marché, the Second or Premier Marché, until the Bubble explosed.
Later in the day, came Goldman Sachs during the course of Free's IPO on the French Premier Marché (2004) or AvanQuest's amicable takevoer bid over EMME (2007).
And then recently, Biom'Up and Balyo both in 2017 during their IPO on the EuroNext together with his partner Etienne Boursican.